voici le combat d'un de nos adhérents en Rouge en Kick-Boxing réglement K-1 en Belgique

Sanda

                                                            Le Sanda (Sanshou), Art-Martial chinois

Sanda (« frappes aléatoires ») : également appelé Sanshou (« mains aléatoires »)

  • Le Sanda est une forme de combat libre; on peut aussi le qualifier de Kung-fu sportif par opposition au kung-fu traditionnel qui est un art martial. Le Sanda se caractérise par l'utilisation des poings, de jambes et des projections. Dans les années 70, le gouvernement chinois commence à promouvoir le Sanda pour mettre fin aux combats sans catégorie de poids et autorisant presque tous les coups, qui sont organisés dans les villes et les villages. Ces combats se gagnaient par K.O. ou par abandon. Les premiers tournois prennent leur essor dans les années 80. Un combat se compose de deux ou trois rounds de deux minutes chacun avec un arbitre central et quatre arbitres de coins comptabilisant les points. La tenue du combattant se compose d'un casque, d'un plastron, d'une paire de gants, d'une paire de protège tibia, d'une coquille et d'un protège dent, sauf en professionnel comme au muay-thai.

KICK-BOXING

Nombreux sont ceux qui pensent que le kick-boxing est un sport originaire de Thaïlande. Au Japon, à la fin des années 1950, des experts de karaté et d'autres arts martiaux organisent des rencontres de plein-contact sur tapis et sur ring, ainsi naît le kick-boxing japonais. C'est au milieu des années 1960, que le kick-boxing japonais prend réellement son envol grâce au promoteur de boxe Osamu Noguchi. À la même époque aux États-Unis, de nombreuses écoles d'arts martiaux organisent des rencontres de plein contact notamment des disciplines comme le bando, le karaté, le taekwondo, le kempo, etc.. Dès 1962, un des pionniers du kick-boxing américain, le birman Maung Gyi, organise des opens de tous styles sur ring. Puis une sorte de révolution s'opère dès le début des années 1970 dans le milieu du karaté de haut-niveau. De nombreux pratiquants de bon niveau point-fighting (« karaté à la touche freinée ») évoluant dans les compétitions se sentent frustrés par les réglementations en vigueur privilégiant le contrôle des touches. Alors, ces derniers cherchent un sport dans lequel on utilise la puissance des coups de pied et de coups de poing, plutôt qu'en les arrêtant avant de toucher l'adversaire. Le full-contact karaté (« kick-boxing américain sans low-kick ») et le « kick-boxing américain avec low-kick » étaient nés.